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Nous vous invitons à une rencontre débat autour de notre motion dont le 1er signataire est Bertrand Delanoë en présence de :

DANIEL VAILLANT
(Député)
et
ALAIN BERGOUNIOUX
(Secrétaire National du Parti Socialiste)

Vendredi 3 octobre 2008 à 18h30

Domaine de Tournon – Route des Pinchinats
13100 Aix-en-Provence

A l’issue de cette rencontre Parti Socialiste Aixois vous invite à partager le verre de l’amitié !

Autoroute A7 en venant de Marseille
Direction Gap Sisteron sortir à Aix les platanes (sortie 12) puis se reporter au plan. Si besoin vous pouvez joindre Malik : 06 11 55 24 96
Télécharger le plan

Dans une interview au Journal Le monde (daté du mercredi 27 août 2008), Bertrand Delanoë se déclare candidat au poste de Premier Secrétaire du Parti Socialiste.

La situation économique se dégrade et pourtant le PS reste inaudible…
C’est pourquoi, plus que jamais, nous devons partir de ce que vivent les Français. De ce point de vue, seize mois après son élection, le temps est venu pour Nicolas Sarkozy de rendre des comptes. La crise actuelle est certes mondiale, mais elle frappe davantage la France que ses partenaires : notre commerce extérieur est en déficit de 40 milliards d’euros en 2007, alors qu’avec la même monnaie, l’Allemagne a dégagé un excédent de 200 milliards. Pour la première fois depuis 2003, notre économie a détruit au deuxième trimestre plus d’emplois qu’elle n’en a créés. Et 1,3 million de salariés sont contraints au temps partiel. Le chef de l’Etat ne peut pas rester silencieux sur ce bilan. Si, selon l’Insee, le moral des Français n’a jamais été aussi bas depuis vingt ans, il y a bien une raison…

Concrètement, que proposez-vous ?
Sans démagogie, nous devons proposer un autre chemin aux Français, pour redresser les finances publiques et relancer l’investissement, là où l’Etat n’y consacre que 3 % de ses dépenses. A l’instar des collectivités territoriales, il devrait d’ailleurs se fixer pour objectif de ne plus emprunter que pour investir. Pour cela, il faut d’abord dégager de nouvelles marges : annuler l’erreur majeure du paquet fiscal, y compris l’inefficace volet sur les heures supplémentaires, récupérer au moins un tiers des niches fiscales qui s’élèvent à 72 milliards d’euros et soumettre à cotisations sociales les stocks-options, soit un gain potentiel de 3 milliards. Sur ces bases, la priorité absolue, c’est la formation, l’innovation et la recherche, pour l’emploi et la compétitivité de nos produits. Je propose par exemple un crédit d’impôt innovation ciblé sur les PME. Quant au pouvoir d’achat, il faut le soutenir par un effort maîtrisé en faveur du smic, par une mise en place immédiate de la prime transport et surtout conditionner les exonérations de charges sociales à la conclusion de négociations salariales dans les entreprises. Enfin, il faudra alléger les prélèvements sur les bénéfices réinvestis et renforcer ceux sur les bénéfices distribués.
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L’esprit dans lequel nous abordons le congrès de Reims est à la fois humble, déterminé et résolument collectif comme l’illustre l’élaboration même de cette contribution : nous avons choisi de partager notre expérience et nos convictions avec loyauté, d’identifier les défis avec clarté et de chercher des solutions avec honnêteté. Nous n’avons pas d’adversaire dans le Parti. Mais nous avons un but : préparer le retour de la gauche au pouvoir, pour mieux servir les Français.

Téléchargez la contribution en cliquant sur l’image ci-dessous :

Une halte à Marseille s’imposait. Dans le cadre de sa tournée, avant de déposer mercredi sa contribution et de se déclarer officiellement candidat au poste de premier secrétaire du PS, Bertrand Delanoë se devait de tâter le terrain dans les Bouches-du-Rhône. Là où la fédération est l’une des plus puissantes de France. Là où l’un de ses plus influents ténors, le président du Conseil général, Jean-Noël Guérini, a signé une contribution anti-guerre des chefs avec deux autres barons régionaux, Gérard Collomb, le maire de Lyon, et Vincent Feltesse, le patron de la communauté urbaine de Bordeaux.

Aussi, avant de rencontrer presse et militants, Bertrand Delanoë a déjeuné avec Jean-Noël Guérini. « On a parlé de nos contributions, a souri le maire de Paris, chacun va lire attentivement celle de l’autre et la commentera ». Évacuant l’idée d’une éventuelle convergence par un « on va voir » évasif. « Il y a une histoire sentimentale et politique avec les socialistes des Bouches-du-Rhône, mais ils savent que je ne suis pas un dégonflé, je suis déterminé », a-t-il assené tout en lançant, avec un « j’ai un besoin de vous », un appel aux troupes du département.

Mettant, par ailleurs, en garde sur ces rassemblements régionaux: « Je ne souhaite pas que l’on revienne à la SFIO d’avant Épinay, il faut que les dynamiques locales servent une dynamique nationale. » Favori dans les sondages pour prendre la succession de François Hollande à la tête du parti, Bertrand Delanoë, 58 ans, est parti en campagne six mois avant le congrès de Reims prévu en novembre. À l’occasion de la publication de son livre intitulé De l’audace. Relançant, ainsi, le combat des éléphants bien qu’il affirme ne pas se sentir « concerné » par les « querelles de personnes ».

Hier, il a levé un coin du voile sur sa contribution qu’il n’a pas fini de rédiger, proposant notamment que la France investisse « 3% du PIB dans la recherche, soit 15 milliards d’euros par an » et suggérant pour financer cette proposition de « supprimer le paquet fiscal ». Plaidant pour un PS « courageux et moderne », il a adressé une pique à l’actuel patron de son parti condamnant « l’unanimisme qui ne correspond pas à la pensée de chacun » et espérant que le « congrès de Reims ne ressemble pas au congrès du Mans ».
Source : La Provence du 28 juin 2008 (Marjory Chouraqui)

A l’occasion de la rencontre nationale du 24 mai dernier organisée à Paris autour de Bertrand Delanoë, Marie-Arlette Carlotti, députée européenne, conseillère générale des Bouches-du-Rhône. Selon elle,  » l’internationalisme, c’est l’identité de base du parti socialiste ».

Toutes les vidéos de Clarté, courage et créativité.

Nous devons débattre, tous ensemble, sans complaisance vis-à-vis de nous même, sans complexe au regard de l’extrême gauche, sans se perdre au centre.
Car nous avons le devoir de faire du Parti Socialiste un grand parti de gauche, à la fois moderne et fier de ses valeurs.
Ensuite, mais ensuite seulement, il nous faudra mettre en place les conditions d’un grand rassemblement de toute la gauche et de toutes les forces qui veulent ouvrir une alternative durable à la droite.

C’est sur ces bases que nous avons décidé de nous engager sur le texte « Clarté, courage, créativité : pour un grand Congrès socialiste », afin de susciter le débat de notre prochain Congrès.
Le débat n’est pas la division, quand il est libre, riche et sincère.
Et is nous devons nous retrouver sur les positions différentes, peu importe du moment que les relations seront restées fraternelles, les règles du jeu transparentes.
C’est ce que nous ferons ensemble dans cette fédération.

Marie-Arlette CARLOTTI, Michel PEZET et Christophe MASSE invitent les militants socialistes et les marseillais à une rencontre avec Harlem DESIR, député européen et secrétaire national à la mondialisation :

VENDREDI 30 MAI 2008 à 18h30
Maison de la Jeunesse et de la Culture
12/14, rue Saint Bazile – 13001 Marseille

(rue derrière la Poste des Réformés)
Métro Réformés – Tram Gambetta – Parking Gambetta

Cette rencontre sera précédée par une conférence de presse à 16h30, à la Brasserie des Danaïdes (6, square Stalingrad 13001 Marseille).

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