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Je soutiens Clarté, Courage, Créativité

Le Congrès de Reims doit permettre aux militants de se saisir des grands choix que nous avons à opérer pour remettre le parti en ordre de marche, pour lui permettre d’être d’ores et déjà une opposition efficace et préparer un projet ambitieux et crédible pour que la gauche gagne en 2012.

A moins d’un mois du choix que chaque militant devra faire, Bertrand Delanoë nous parlera de son engagement en tant que premier signataire de la Motion A – Clarté Courage Créativité : Une gauche conquérante pour redonner un espoir à la France.

Bertrand DELANOE à Marseille
Fédération du Parti Socialiste
Mercredi 22 octobre 2008 à 18h30
58, rue Montgrand – 13006 Marseille

Entrée libre

Marie-Arlette CARLOTTI a présenté à la Fédération du Parti Socialiste des Bouches-du-Rhône, la motion de Bertrand Delanoë, le vendredi 19 septembre 2008.
Voici son intervention :

J’interviens ici au nom de la contribution « Clarté, Courage, créativité ».
Cette contribution j’y ai pris ma part mais surtout elle a été rédigée grâce à un travail collectif très important.

Aujourd’hui autour de notre contribution, nous avons déjà permis que se constitue quelque-chose de neuf : un rassemblement nouveau.

Notre contribution est en effet la seule à avoir, d’ores et déjà, réuni des militants aux parcours divers, venant de courants différents dans le parti. Mais qui ont su laisser derrière eux leur histoire politique personnelle pour travailler ensemble autour d’une proposition cohérente qui couvre l’ensemble des grandes questions au cœur de notre Congrès : l’orientation rénovée du Parti Socialiste, la stratégie et les alliances, la conception du parti et enfin celle du leadership.
Car jamais la question du leadership ne s’est faite autant ressentir.
C’est-à-dire d’un premier secrétaire qui soit un vrai chef de l’opposition, capable de faire travailler notre famille politique et de la remettre en mouvement pour préparer la victoire de 2012.
Car il nous faudra travailler ensemble après le Congrès pour élaborer notre programme.

Notre contribution a vocation à devenir une motion.

Le 23 septembre, c’est Bertrand Delanoë qui sera le premier signataire d’un texte qui portera une orientation politique claire.
Et c’est Bertrand Delanoë qui, sur cette base politique, sera candidat au poste de Premier Secrétaire.
Ainsi nous optons pour la transparence en présentant aux militants une orientation politique et celui qui va la mettre en œuvre.

Nous allons continuer à débattre en privilégiant le fond, le contenu, les propositions concrètes pour élargir ce rassemblement et créer une dynamique majoritaire. Car il nous faut absolument donner à notre parti un pôle central pour lui assurer une stabilité et la dynamique nécessaire, pour éviter la fragmentation, la dispersion et l’émiettement qui nous ont fait si mal et encore récemment à la Rochelle.

Nous travaillons donc dans un esprit constructif, sans dénigrement ni insultes personnelles, dans le respect de tout le monde. Mais en disant clairement que nous refusons les rapprochements artificiels, les tractations secrètes, les coalitions éphémères.

Nous ne voulons pas perdre de vue le véritable enjeu du Congrès de Reims.
Dans un contexte de grande souffrance sociale, nous devons être à la hauteur de l’attente des Français. C’est à eux avant tout, à qui nous devons nous adresser.
Nous devons leur montrer l’image d’un PS capable de jouer pleinement son rôle d’opposition, qui sache dessiner une alternative novatrice, audible et crédible à l’actuelle politique du gouvernement.

Au plus haut niveau de nos préoccupations : La question sociale.

Certes la crise actuelle est mondiale mais elle frappe davantage la France parce que notre pays est mal gouverné.
Le moral des français n’a jamais été aussi bas depuis 20 ans !
Ils sont inquiets pour leur retraite, leur couverture sociale, leur pouvoir d’achat.
Notre commerce extérieur est en déficit de 40 milliards d’€ (alors que l’Allemagne a dégagé un excédent de 200 milliards d’€ en 2007).
Pour la première fois depuis 30 ans, notre économie a détruit (au 2ème trimestre) plus d’emploi qu’elle n’en a créé.
Et 1,3 millions de salariés sont contraints au temps partiel, beaucoup ont recours aux banques alimentaires pour finir le mois.

La question sociale est lancinante.
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Dans une interview au Journal Le monde (daté du mercredi 27 août 2008), Bertrand Delanoë se déclare candidat au poste de Premier Secrétaire du Parti Socialiste.

La situation économique se dégrade et pourtant le PS reste inaudible…
C’est pourquoi, plus que jamais, nous devons partir de ce que vivent les Français. De ce point de vue, seize mois après son élection, le temps est venu pour Nicolas Sarkozy de rendre des comptes. La crise actuelle est certes mondiale, mais elle frappe davantage la France que ses partenaires : notre commerce extérieur est en déficit de 40 milliards d’euros en 2007, alors qu’avec la même monnaie, l’Allemagne a dégagé un excédent de 200 milliards. Pour la première fois depuis 2003, notre économie a détruit au deuxième trimestre plus d’emplois qu’elle n’en a créés. Et 1,3 million de salariés sont contraints au temps partiel. Le chef de l’Etat ne peut pas rester silencieux sur ce bilan. Si, selon l’Insee, le moral des Français n’a jamais été aussi bas depuis vingt ans, il y a bien une raison…

Concrètement, que proposez-vous ?
Sans démagogie, nous devons proposer un autre chemin aux Français, pour redresser les finances publiques et relancer l’investissement, là où l’Etat n’y consacre que 3 % de ses dépenses. A l’instar des collectivités territoriales, il devrait d’ailleurs se fixer pour objectif de ne plus emprunter que pour investir. Pour cela, il faut d’abord dégager de nouvelles marges : annuler l’erreur majeure du paquet fiscal, y compris l’inefficace volet sur les heures supplémentaires, récupérer au moins un tiers des niches fiscales qui s’élèvent à 72 milliards d’euros et soumettre à cotisations sociales les stocks-options, soit un gain potentiel de 3 milliards. Sur ces bases, la priorité absolue, c’est la formation, l’innovation et la recherche, pour l’emploi et la compétitivité de nos produits. Je propose par exemple un crédit d’impôt innovation ciblé sur les PME. Quant au pouvoir d’achat, il faut le soutenir par un effort maîtrisé en faveur du smic, par une mise en place immédiate de la prime transport et surtout conditionner les exonérations de charges sociales à la conclusion de négociations salariales dans les entreprises. Enfin, il faudra alléger les prélèvements sur les bénéfices réinvestis et renforcer ceux sur les bénéfices distribués.
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Une halte à Marseille s’imposait. Dans le cadre de sa tournée, avant de déposer mercredi sa contribution et de se déclarer officiellement candidat au poste de premier secrétaire du PS, Bertrand Delanoë se devait de tâter le terrain dans les Bouches-du-Rhône. Là où la fédération est l’une des plus puissantes de France. Là où l’un de ses plus influents ténors, le président du Conseil général, Jean-Noël Guérini, a signé une contribution anti-guerre des chefs avec deux autres barons régionaux, Gérard Collomb, le maire de Lyon, et Vincent Feltesse, le patron de la communauté urbaine de Bordeaux.

Aussi, avant de rencontrer presse et militants, Bertrand Delanoë a déjeuné avec Jean-Noël Guérini. « On a parlé de nos contributions, a souri le maire de Paris, chacun va lire attentivement celle de l’autre et la commentera ». Évacuant l’idée d’une éventuelle convergence par un « on va voir » évasif. « Il y a une histoire sentimentale et politique avec les socialistes des Bouches-du-Rhône, mais ils savent que je ne suis pas un dégonflé, je suis déterminé », a-t-il assené tout en lançant, avec un « j’ai un besoin de vous », un appel aux troupes du département.

Mettant, par ailleurs, en garde sur ces rassemblements régionaux: « Je ne souhaite pas que l’on revienne à la SFIO d’avant Épinay, il faut que les dynamiques locales servent une dynamique nationale. » Favori dans les sondages pour prendre la succession de François Hollande à la tête du parti, Bertrand Delanoë, 58 ans, est parti en campagne six mois avant le congrès de Reims prévu en novembre. À l’occasion de la publication de son livre intitulé De l’audace. Relançant, ainsi, le combat des éléphants bien qu’il affirme ne pas se sentir « concerné » par les « querelles de personnes ».

Hier, il a levé un coin du voile sur sa contribution qu’il n’a pas fini de rédiger, proposant notamment que la France investisse « 3% du PIB dans la recherche, soit 15 milliards d’euros par an » et suggérant pour financer cette proposition de « supprimer le paquet fiscal ». Plaidant pour un PS « courageux et moderne », il a adressé une pique à l’actuel patron de son parti condamnant « l’unanimisme qui ne correspond pas à la pensée de chacun » et espérant que le « congrès de Reims ne ressemble pas au congrès du Mans ».
Source : La Provence du 28 juin 2008 (Marjory Chouraqui)

A l’occasion de la rencontre nationale du 24 mai dernier organisée à Paris autour de Bertrand Delanoë, Marie-Arlette Carlotti, députée européenne, conseillère générale des Bouches-du-Rhône. Selon elle,  » l’internationalisme, c’est l’identité de base du parti socialiste ».

Toutes les vidéos de Clarté, courage et créativité.

Mardi 6 mai 2008, vous y voilà. Le texte que nous avons préparé vient d’être rendu public. 11 pages pour préparer le congrès de novembre prochain. Comme le dit bien ce texte, « la responsabilité majeure des socialistes est de proposer aux Français de nouveaux repères, de susciter un nouveau destin pour le pays et de préparer une alternative« . Nous allons nous y atteler à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône.

Nous vous proposons le téléchargement du texte :
La contribution « Clarté, courage, créativité : pour un grand congrès socialiste » présentée par Bertrand Delanoë et ses amis (264ko au format pdf)

Les élus qui soutiennent Bertrand Delanoë et ce texte – premiers signataires (52 ko au format pdf)

La conclusion de la contribution résume notre état d’esprit :  » nous souhaitons un congrès d’idées, qui concilie clarté, courage, créativité et goût d’être ensemble pour porter une nouvelle dynamique de progrès et de victoire. N’ayons pas peur de nos différences. Tranchons-les par le débat et par le respect du choix des socialistes. Nous y gagnerons tous en lisibilité et en unité.
Dans la clarté
« .

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